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Résultats de notre grande enquête auprès de notre communauté BlueBirds

Nous avons invité notre communauté à participer en Janvier et Février dernier à notre grande enquête sur les tendances du freelancing à haute valeur ajoutée. Nous avons le plaisir de partager les tendances clés qui en ressortent.

A retenir trois grandes tendances

  • 62% des consultants estiment qu’il est important d’appartenir à une communauté ou un réseau d’indépendants pour trouver des missions plus facilement. 44% d’entre eux déclarent que les réseaux d’indépendants leur permettent de maintenir un lien social professionnel.
  • Pour la majorité des consultants et managers de transition, le contact personnalisé avec les plateformes est un critère important d’adhésion, au même titre que la prise en compte de leurs critères de mission.
  • 61% des consultants et managers de transition mènent des « side projects » à côté de leur activité de consultant ou manager de transition.

Retrouvez ci-dessous la synthèse des résultats

Le rôle multiple des plateformes

83% des consultants interviennent individuellement sur leurs projets de conseil ou de management de transition.

Cette autonomie dans leurs missions ne supprime pas pour autant le besoin de faire partie d’une communauté de pairs pour évoluer. En effet, 62% des répondants estiment qu’il est important d’appartenir à une communauté ou un réseau d’indépendants pour trouver des missions plus facilement. Mais aussi pour partager des idées, des pratiques ou des expertises pour 46% d’entre eux. Enfin, 44% déclarent que cela leur est nécessaire pour maintenir un lien social professionnel.

Dans cette optique, l’engagement auprès d’une plateforme est clairement lié à une expérience personnalisée et des contacts humains avec celle-ci pour 64% des consultants. Pour 55% d’entre eux, la prise en compte de leurs critères de mission ainsi que la transparence de la commission d’intermédiation favorisent l’attachement à une plateforme plutôt qu’à une autre.

Pour les consultants interrogés, une plateforme d’intermédiation doit développer et mettre à disposition un certain nombre de services. Les plus attendus (76%) sont des outils de travail dédiés (accès à des bases de données, outils de project management…), des solutions physiques ou digitales qui permettent le partage de bonnes pratiques et l’échange avec d’autres consultants (55%) et des possibilités de formation professionnelle (33%).

Une réelle volonté d’entreprendre

61% des consultants interrogés déclarent mener des projets personnels en dehors de leur activité de consultant. Ces projets sont à 64% de nature entrepreneuriale, à 36% des missions de coaching ou formation et à 32% des missions de bénévolat.

A noter que ces activités additionnelles permettent de compenser la baisse d’activité constatée pour une partie des consultants : Durant le second confinement de la fin d’année 2020, seuls 17% des consultants déclarent avoir constaté un renforcement de leur activité. 39% ont maintenu leur activité et 44% ont constaté une réduction des missions.